« Rien n’est égal à la joie qu’on ressent à Paris du départ des troupes étrangères. Cette joie s’est manifestée, dans les faubourgs Saint-Antoine et Saint-Marceau, par des propos et des chants qui décèlent un patriotisme grossier mais ferme. Dans l’un de ces quartiers, quelques malveillants ont essayé de mettre à profit le goût que montre le peuple pour l’air de « Vive Henri IV ! », en y appropriant des mots à la louange de Bonaparte ». Comte Anglès, rapport en date du 31 mai 1814.
Georges Firmin-Didot, « Royauté ou Empire. La France en 1814. D’après les rapports inédits du comte Anglès », Maison Didot, Firmin-Didot et Cie Éditeurs, s.d. [1897], p. 21).