« On ne saurait imaginer les propos dégoûtants dont étaient infectés les journaux n’ayant de français que le nom, ni avec quelle rage absurde ils cherchaient à ravaler le grand homme, dont la chute même ébranlait le monde. Il est sans cesse présent à ma pensée ce 1er janvier 1815. J’avais, ce jour-là, l’honneur de dîner à la table de Sa …