« Dans les derniers jours de mai [1815], gagnant le boulevard par la rue Saint-Denis, je voyais venir de loin deux gendarmes à cheval, escortés par une foule de gamins. Quand ils furent devant le marché, nous aperçûmes alors un spectacle digne de pitié. Un malheureux vieillard, sans chapeau, et la tête ensanglantée, était attaché à la queue du cheval d’un …
Un royaliste malveillant…
