« Alors, comme au mois de mars 1814, nous vîmes arriver dans Paris d’immenses populations fuyant devant l’ennemi, avec de longues files de charrettes, de bêtes de somme, de bestiaux. Tous ces malheureux avaient abandonné leurs maisons pour se sauver avec ce qu’ils avaient de plus précieux. Le coeur le plus dur n’aurait pu voir, sans en être ému, cette multitude …