« La capitale ouvrant ses portes aux hordes étrangères ; les drapeaux ennemis détrônant dans nos murs les couleurs françaises; d’indignes citoyens s’attelant au char de triomphe de nos vainqueurs; d’autres , forcés de cacher leurs pleurs et leurs cicatrices; — voilà ce que j’ai raconté dans mes souvenirs de 1814; voilà ce que j’ai encore à redire. J’ai malheureusement été, …