On apprend le 20 octobre que l’ennemi fait des mouvemens (sic) dans les environs d’Alicante et qu’il paraît vouloir se porter en force sur Valence ; l’armée d’Aragon quoiqu’animé du meilleur esprit, bien payée, bien nourrie, bien habillée, est cependant bien faible pour résister à des forces aussi considérables que des Espagnols et des Anglais réunis. Le maréchal se dispose à …