Suite du témoignage de Philippe-René Girault (1775-1851), musicien dans les rangs du 93ème régiment de ligne. « Le temps s’était remis au beau, la marche était devenue moins pénible, attendu que nous ne faisions guère que quatre ou cinq lieues par jour. Mais il nous fallait coucher à la belle étoile, au bivouac, et puis les vivres manquaient souvent. Nous avions …