Suite du témoignage de Philippe-René Girault (1775-1851), musicien dans les rangs du 93ème régiment de ligne. « Cependant la bataille avait recommencé sur la rive gauche, et le canon grondait avec plus de furie encore que la veille. Mais nous ne pouvions plus nous faire illusion sur l’issue du combat. Nous savions que Napoléon ne pouvait plus recevoir aucun secours: un …