« La princesse Pauline, à l’île d’Elbe, pouvait avoir de trente à trente-cinq ans [elle en avait trente-quatre]. Sa personne, suivant ce qui était apparent, avait toutes les belles proportions de la Vénus de Médicis. Il ne lui manquait qu’un peu de jeunesse, car la peau de sa figure commençait à se rider ; mais les quelques défectuosités résultant de l’âge disparaissaient …