J’ai reçu, chère amie, ta lettre du 26 septembre [1812] et celle de Mme Gudin pour Sa Majesté. J’ai rempli ses désirs. Assure-lui que l’Empereur n’oublie pas plus les morts que les vivants, surtout les premiers, lorsqu’ils ont autant de droit à sa bienveillance, à son estime [autant] que le pauvre général Gudin [mort des suites de ses blessures reçues lors de …