« Nous étions serrés de bien près par les Russes, écrit notre mémorialiste. Ils étaient au moins quarante contre un français. Nous n’avions pas un moment de repos ni jour ni nuit, à tout bout de champ et de toute part, nous étions attaqués. Nous étions d’autant plus exposés que dans l’espoir de se ravitailler plus facilement, l’Escadron sacré s’était divisé …