Cet officier anglais était chargé de la surveillance de Napoléon à l’île d’Elbe. L’évasion de ce dernier sera le drame de sa vie. Il écrit ici à un certain M. Bailler, demeurant à Vienne (Autriche). C.B. Porto-Ferrajo [Portoferraio], 14 octobre 1814 « Continuez à me donner des nouvelles. Vous me mettez à même de divertir Napoléon beaucoup plus que vous ne …