Un mauvais cavalier se montre circonspect, or Napoléon était un cavalier hardi, voire casse-cou : il lançait son cheval au galop dans des sentiers étroits, il s’aventurait sur des pentes assez abruptes puis franchissait des ravins, sans avertir. Le mameluck Roustan suivait, au même train, avec un portemanteau pour changer son maître en cas de chute. Napoléon, en effet, soigneux, quittait …