« Je suis persuadé qu’un long repos est impossible à Bonaparte et, qu’après qu’il aura cessé de craindre le Congrès [de Vienne], il machinera quelque plan pour sortir de son île et pour troubler encore le monde ! »
(Georges Firmin-Didot, « Royauté ou Empire. La France en 1814 d’après les rapports inédits du comte Anglès », Maison Didot, Firmin-Didot et Cie, Editeur, 1897, p.167, 3 décembre 1814).