C’est ainsi que Cambacérès décrit la situation à Paris, dans cette seconde lettre à l’Empereur (datée du 26 août 1813). Il poursuit : « …le public attend avec confiance les événements qui se préparent, et se repait, en attendant, de quelques faux bruits, inventés par l’oisiveté plutôt que par la malice. Bien des gens par exemple, croyaient que ce Jomini était aide-de-camp …