Cette lettre datée du 21 septembre 1812, est une note que Maret, duc de Bassano, envoya au corps diplomatique d’après les renseignements qui lui furent transmis par Lelorgne d’Ideville et d’autres correspondants. Il y énumère les preuves du « crime » de Rostopchine : enlèvement des pompes, emploi de projectiles incendiaires, embrasement sans qu’on puisse savoir comment le feu y fut mis, déchaînement …