« L’arrestation de Ney venait de nous jeter tous dans la stupeur; son procès s’instruisait au milieu d’une réaction affreuse. Le maréchal avait été arrêté, le 3 août, au château de Bessonies, par un capitaine, un lieutenant et quatorze gendarmes. Il était resté jusqu’au15 dans la maison de ville, et était arrivé le 19 à la Conciergerie. J’attendais l’issue du procès. …