Dans ses « Mémoires », Bausset, préfet du Palais, qui fut longtemps l’un des collaborateurs les plus immédiats, relate la conversation qu’il eut avec Duroc quelques jours avant qu’il ne fût tué à Bautzen. « Nous causions des succès du commencement de la campagne et nous donnions de justes regrets à la perte du maréchal Bessières. Je n’oublierai jamais les derniers mots de …