Née en 1785 [1], elle suit son époux à Sainte-Hélène, avec leurs trois enfants (un quatrième naîtra sur place). Selon l’historien R. Brice (« Les espoirs de Napoléon à Sainte-Hélène », Payot, 1938), « Inconséquente, prétentieuse, aimant paraître, elle avait cependant le sens de la fidélité. Elle n’aimait pas Napoléon ; elle lui gardait une rancune enfantine de l’avoir grondée, quand elle était jeune fille, …