« Mortier m’a fait bien du mal en quittant le commandement de la Garde à Beaumont ; il connaissait tout ce corps. Si j’avais eu Lannes ou Bessières à la tête de la Garde, le malheur ne serait pas arrivé. Ce sera sûrement la faute de Mortier, à qui l’on aura écrit de Paris que Corps législatif conspirait. Le duc de Trévise [Mortier] est un brave homme, mais sa femme le mène »
(Napoléon au général Gourgaud, à Sainte-Hélène, 25 février 1815).