« C’est un officier qui a beaucoup de mérite militaire. » (Napoléon à Frédéric, roi de Wurtemberg, Paris, 5 avril 1809).
« Ce malheureux Vandamme, qui paraît s’être tué [à Kulm], n’avait pas laissé une sentinelle sur les montagnes, ni une réserve nulle part ; il s’était engouffré dans un fond, sans s’éclairer en aucune façon. S’il avait seulement eu 4 bataillons et 54 pièces de canon sur les hauteurs, en réserve, ce malheur ne serait pas arrivé. Je lui avais donné l’ordre positivement de se retrancher sur les hauteurs, d’y camper son corps, et de n’envoyer en Bohême que des partis isolés. »
(Napoléon au maréchal Gouvion Saint-Cyr, Dresde, 1er septembre 1813. Précisons que le tumultueux général Vandamme sera fait prisonnier à l’issue de la bataille de Kulm, le 30 août 1813).