J’ai déjà évoqué ce personnage sur « L’Estafette ». ————– « Il était onze heures du soir, une nuit épaisse nous couvrait, un froid extrêmement vif se faisait sentir et tous nous étions assis sur la place du village, tristes, pensifs, jetant des regards découragés sur tout ce qui nous entourait, interrogeant mutuellement nos yeux pour y chercher de l’espérance, n’y voyant que …
Une lettre d’Amédée de Pastoret (1812).
