Ne pas oublier quelques livres fondamentaux sur l’Empire !
La LIBRAIRIE DES CORDELIERS, à ROMANS (Drôme) , en indique plusieurs, réalisés par votre serviteur !
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Un ouvrage à avoir dans votre bibliothèque:
Retrouvez TOUS les témoignages essentiels de ceux qui ont partagé le séjour de NAPOLEON à SAINTE-HELENE, y compris un certain nombre de récits anglais et qui n’avaient jamais été traduits en Français !
PUBLIE AUX EDITIONS DE L’ARTILLEUR
EN VENTE (DEPUIS LE 7 JUILLET) DANS TOUTES LES BONNES LIBRAIRIES DE L’EMPIRE FRANCAIS ET SUR LE NET !
Retrouvez tous les témoignages essentiels sur le captivité de Napoléon,
y compris ceux émanant de témoins anglais et qui n’avaient jamais été traduits en français !
Mon prochain livre est à paraître le 5 mai prochain aux Editions de l’Artilleur !
Cet ouvrage a fait l’objet d’une recension, dans le dernier numéro de la « Revue du Souvenir Napoléonien » (une publication que l’on trouve désormais en kiosque)
Je ne pense pas que ce soient des lettres inédites, comme le suppose un peu hâtivement la personne qui les a découvertes.
La première lettre que l’on peut voir (en partie) sur cette photo et signalée par une flèche, pourrait être celle-ci, adressée au général Clarke, duc de Feltre, Ministre la Guerre :
« Dresde, 27 juin 1813.
Je vous envoie l’état des déserteurs de la guerre. Je vous prie de faire mettre des garnisaires chez leurs parents et de faire en sorte que ces hommes soient retrouvés. »
D’après la minute. Arch. Nat. AF IV, 900.
Elle a été publiée sous le n°2046, dans l’ouvrage intitulé : « Dernières lettres inédites de Napoléon 1er. Collationnées sur les textes et publiées par Léonce de BROTONNE. Tome II », Paris, Honoré Champion, Libraire, 1903, p.406.
C.B.
Ultime conclusion de Bernard, lecteur attentif, à propos de mon ouvrage:
« Ayant terminé cet ouvrage, je voudrais y revenir un instant pour souligner la grande humanité du major Le Roy, un homme qui forge le respect. Le récit de la retraite est poignant, la relation du passage de la Bérézina un modèle du genre (certains points sont quand même discutables)… Nommé major du 85e avec l’ordre de rejoindre le dépôt à Coblence, peu avant le départ de Moscou. Voilà notre homme obligé de suivre l’armée et qui en vit le quotidien, échappant tant bien que mal aux pièges et tracas, parvenant même à Vilna avec son cheval. Il a perdu dans la campagne son fils et son domestique, il a connu le pire, les privations mais son témoignage montre aussi que l’armée n’a jamais été totalement abandonnée. Même aux pires moments, il y a eu des distributions de vivres… le reste relève de la débrouille ! On vit avec lui les pires moments de la campagne, les hommes capables du pire et, malgré tout, de solidarité. C’est une grande leçon de vie que cet ouvrage ! Il mérite qu’on s’y attarde… Merci, Christophe, de l’avoir publié. »