« La princesse Pauline, faisait, chez son frère, le bonheur des réunions, avec cette grâce qui la distinguait d’une manière si éminente. Ces soirées intimes étaient pleines de saillies ; c’étaient de délicieuses causeries toutes pétillantes d’à-propos, toutes chatoyantes d’intrigues. L’Empereur, que l’entraînement général gagnait, devenait alors charmant d’improvisations gracieuses ; il racontait ses impressions du jeune âge ; il disait des scènes de …