A Madame de Marbotin-Rubéran pour Sauviac à Bazas (Gironde). Du bivouac devant Stockerau, le 10 juillet 1809. Ma chère maman, Nous venons d’avoir une affaire avec les Autrichiens et je m’empresse de t’écrire d’après la demande que tu m’en as faite et d’après le devoir que je me suis moi-même imposé d’écrire, après chaque bataille ou combat auquel je me …